Le Sony Alpha I.

Un condensé de tout ce que vous désirez.

Un capteur de 50,1 mégapixels.

Une résolution hors norme.

Ce ne sont pas les 61 de l’A7RIV, mais couplé à ses autres fonctionnalités, vous verrez qu’ils ne jouent pas dans la même cour.

Ils ne visent pas le même publique non plus.

204 800 ISO.

On pourrait croire que sa grande taille de capteur pourrait lui faire défaut.

On n’a pas (encore) de grands retours.

Mais sur le papier, ça n’a pas l’air de déranger plus que ça.

Bien au contraire.

4K 120p.

Rien de plus simple.

120 images par secondes vous permettant des ralentis se rapprochant de l’excellence.

Le tout dans une résolution plus que potable, d’autant plus en 10bit.

8K 30p.

Les possibilités sont « infinies ».

Recadrer, volonté d’une images belle et précise, tout ce qui tourne autour de la très haute résolution, vous l’avez à portée de main.

Seulement en 4 :2 :0 10bit.

Capteur stabilisé.

Tirant toute sa force de son système 5 axes SteadyShot, comme beaucoup de ses confrères.

Rafale à 30 images/s.

Allié à son autofocus puissant. (Qui lui devient une habitude chez Sony)

759 collimateurs font leurs apparitions.

Pour vous permettre de sélectionner et couvrir n’importe quoi, n’importe quand, et n’importe où.

Prenant en compte de nouveaux modes de suivis encore plus améliorés qu’ils ne l’étaient déjà. 

L’anti-scintillement automatique.

Ce phénomène qui apparait lorsque que votre vitesse ne corrèle pas à la fréquence d’un éclairage artificiel.

C’est plus ou moins résolu en photo. (Pas encore de résultats)

Avec un système précis contrant toute bandes de lumières non désirées.

En vidéo, vous avez la possibilité de régler précisément votre vitesse d’obturation pour contrer le phénomène.

Le mode PixelShift 199 mpx.

Alliant 16 images pour atteindre des photos à la résolution plus qu’excellente.

Équivalent à 199 mégapixels.

Sortie HDMI 16 bit RAW.

Vers un enregistreur externe.

Vous assurant des libertés plus que raisonnables en post-production.